EMuNa avec soutien de l’association AGIR POUR L’AUDITION présente :
Théâtre et Musique
Beethoven, L’Immortelle Bien-Aimée,
d’après la correspondance du compositeur
Théâtre du Conservatoire d’Art Dramatique, Samedi 13 décembre 2014
avec Jean-Marie Galey (Beethoven), Hélène Delavault (Joséphine)
Dana Ciocarlie - piano, Naaman Sluchin – violon, Sébastien van Kuijk – violoncelle
Ecriture et mise en scène – Pauline d’Ollone, sur une idée originale de Shifra Lipsky
Ce spectacle inédit se veut l’expression du courage et de la fougue du compositeur, qui a su créer une œuvre magistrale malgré son handicap.
A travers sa correspondance réelle ou reconstituée et des extraits musicaux de ses plus belles œuvres, il célèbre l’amour universel que Beethoven nous a légué pour l’homme et pour la création en s’inspirant de son grand amour pour une de ses élèves, Joséphine von Brunswick, surnommée par Beethoven lui-même, « l’Immortelle bien aimée ».
La production, portée par des artistes de talent, s’adaptera spécialement à un public auquel elle souhaite rendre hommage : les malentendants. Car Beethoven a montré que les plus grands accomplissements étaient possibles, quel que soit le handicap.
Deux représentations exceptionnelles auront lieu au :
Théâtre du Conservatoire d’Art Dramatique,
le Samedi 13 décembre 2014 à 18h30 et à 21h00.
adresse : 2bis rue du Conservatoire, Paris 09, métro Bonne Nouvelle ou Grands Boulevards.
Avec : Jean-Marie Galey (Ludwig van Beethoven), Hélène Delavault (Joséphine von Brunswick),
Dana Ciocarlie (piano), Naaman Sluchin (violon) et Sébastien van Kuijk (violoncelle).
Écriture et mise en scène : Pauline d’Ollone sur une idée originale de Shifra Lipsky.
Le Théâtre du CNSAD (tous droits réservés : Anne Gayan)
La Salle de l’Ancien Conservatoire (rue du Conservatoire, Paris 9e) est un monument historique édifié de 1806 à 1811. Il s’agit de l’une des premières salles de concert de l’histoire construite pour le concert et non pour l’opéra.
Dès son ouverture, sa qualité acoustique due aux matériaux de bois et toile peinte fut saluée comme exceptionnelle, et la salle fut surnommée le Stradivarius des salles de concert.
Ce lieu est chargé d’un passé musical illustre, à nul autre comparable : c’est là que les symphonies de Beethoven furent entendues pour la 1re fois en France, là que fut créée la Symphonie fantastique de Berlioz, ainsi qu’une très grande partie de la musique française du XIXe siècle.
Inconnue des touristes et de nombre de Parisiens, cette salle a survécu aux incendies et autres démolitions et existe aujourd’hui encore dans son état d’origine.